Le code QR (QR code ou Quick Response Code en anglais) a été créé au Japon en 1994 et développé sur une échelle nationale, puis internationale, à partir de 1999 surtout.
Il s’agit d’un code barre à deux dimensions formées de modules –carrés noirs placés sur un fond blanc, en général de forme carrée. Il comprend deux lignes pointillées appelées timing en anglais ; la première est une colonne, la seconde une ligne. Ces lignes permettent à un logiciel d’identifier la localisation des débuts et fins de ces dernières. Le logiciel peut alors, grâce à l’information obtenue, calculer l’emplacement des pixels qu’il doit lire, la lecture d’un pixel permettant de lire un bit d’information.
On distingue les codes QR statiques et les codes QR dynamiques. Les premiers ne peuvent pas être modifiés tandis que les seconds contiennent l’information de manière indirecte, ce qui permet de rediriger l’utilisateur vers un autre site web. La lecture s’effectue sur les téléphones intelligents notamment.
La capacité des codes peut aller jusqu’à environ 7 090 caractères numériques et 4 300 caractères alphanumériques.
Comme nous le voyons dans la vie courante, les QR codes nous entourent pour le bien et pour le pire : pour le bien, ils rendent plus aisées nos transactions (achat de billets de trains et d’avion, achat de billets pour des spectacles, pour différentes catégories de paiements, etc…). Nous les rencontrons partout, sur les affiches, les écrans de télévision par exemple. Pour le pire, du fait des dangers liés à la cyber escroquerie.
Quoiqu’il en soit, les QR codes font dorénavant partie de nos existences et la crise sanitaire Covid-19 les a rendus indispensables. Les administrations, les entreprises multimédia et, même, certains artistes dans les arts plastiques ou la musique en font usage.
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